La bambola
Une bambola,
c’est une poupée,
c’est fragile, une bambola.
Tous les garçons qui
te surnomment ainsi,
fillette, se moquent de toi.
À leurs yeux tu n’es qu’une poupée,
ton cœur pour eux est un jouet
qu’un jour ils vont briser.
Comme une poupée
désarticulée
se retrouve une bambola.
Je le sais, crois-moi,
j’étais avant toi
moi aussi une bambola.
Ceux qui vont te serrer dans leurs bras
et te mentir plus que tu crois,
ne les écoute pas !
Non, fillette, non,
l’amour, c’est mieux que ça,
c’est plus en plus fort, crois-moi
et tu le reconnaîtras
quand tu viendras.
Ça danse en riant,
mais comme une enfant
c’est fragile, une bambola.
Fillette, crois-moi,
n’oublie surtout pas
que ça pleure, une bambola.
Ceux qui vont te serrer dans leurs bras
et te mentir plus que tu crois,
ne les écoute pas !
Non, fillette, non,
l’amour, c’est mieux que ça,
c’est plus en plus fort, crois-moi
et tu le reconnaîtras
quand tu viendras.
Non, fillette, non,
l’amour, c’est mieux que ça,
c’est plus en plus fort, crois-moi
et tu le reconnaîtras
quand tu viendras.