Lumière (Nuur)
J’ai vécu pour un seul homme
Sans toi, je ne suis personne
Tu es Dieu, tu es mon maître
Je ne peux que me soumettre, oh, oui.
Moi le tableau, toi le peintre.
Toi la force, moi la crainte.
Tu es là pour que je vive,
Pour que je t’aime et te suive, oh, oui.
Dans le plaisir et l’orage,
Parfois le bateau naufrage.
Je veux bien être une esclave,
Mais je veux qu’on me dise merci !
Je suis comme à la première danse,
Je crois plus fort encore à ma chance.
Je suis comme au jour où je t’ai donné
Ma jeunesse, ma liberté.
Oui, je suis restée la même femme.
Tu as mon corps mais je garde mon âme.
Et méfie-toi de ce que je réclame,
Et ne tombons plus jamais.
Même si c’est un peu triste,
C’est par toi seul que j’existe.
Mais s’il faut que je reste digne,
Si les autres se résignent, pas moi, non.
Et ma robe est encore blanche
Et je rêve d’une revanche.
Ça t’étonne, je suis franche
Mais tu restes le plus grand maître pour moi !
Je suis comme à la première danse,
Je crois plus fort encore à ma chance.
Je suis comme au jour où je t’ai donné
Ma jeunesse, ma liberté.
Oui, je suis restée la même femme.
Tu as mon corps mais je garde mon âme.
Et méfie-toi de ce que je réclame,
Et ne tombons plus jamais.