Oh Mélisa
Quand tu es née un cortège de fées
a dû te rendre visite
et maintenant, devant tant de beauté,
mon amour est sans limite.
Toi, ma princesse, tu brilles à l’horizon
comme une étoile filante
et tes beaux yeux me tourmentent
désormais.
Oh Mélisa, oh Mélisa,
laisse-moi t’aimer à genoux,
oh Mélisa, oh Mélisa,
loin de toi je deviens fou.
Mélisa, oh Mélisa,
je donnerais ma vie si tu veux,
oh Mélisa, oh Mélisa,
contre un seul de tes cheveux.
Agenouillé aux marches du palais,
je suis ton berger fidèle
et mon cœur bat
follement quand tu parais
vêtue d’or et de dentelles.
Je ne dors pas,
je t’attends chaque nuit
bercé de folles esperances,
je soupire et je ne pense
plus qu’à toi.
Oh Mélisa, oh Mélisa,
laisse-moi t’aimer à genoux,
oh Mélisa, oh Mélisa,
loin de toi je deviens fou.
Mélisa, oh Mélisa,
je donnerais ma vie si tu veux,
oh Mélisa, oh Mélisa,
contre un seul de tes cheveux.
Contre un seul de tes cheveux...